1832 : Ni le vent, ni la neige n’arrêtent le banquier!

Au XIXe siècle, même par beau temps, il était dangereux de transporter de l’argent. Le risque augmentait de manière exponentielle pendant les tempêtes d’hiver. Le comptable Henry Dupuy raconte le voyage qu’il a fait en février 1832, comme nouvel employé de la Banque de Montréal, pour transporter une forte somme en numéraire entassée dans des boîtes et tonnelets, de Kingston à Montréal; le trajet s’est fait en diligence, pendant un blizzard.

Que représente « BMO »?

À quoi correspond notamment cette abréviation? C’est le symbole de la Banque de Montréal dans les marchés boursiers de Toronto et de New York. Les investisseurs utilisent depuis longtemps « BMO » pour désigner la Banque de Montréal. Il fut donc facile de choisir « BMO Groupe financier » pour désigner l’organisation qui réunissait les différents secteurs d’activités et entreprises.

La guerre et le monde du travail

La Première Guerre mondiale exerça une influence profonde sur l’effectif de la Banque de Montréal. En 1917, près de 50 % de ses employés, soit 810 hommes, avaient abandonné leur emploi pour joindre l’effort de guerre. Ils ont été remplacés par des femmes.

Avant 1914, les femmes exerçant le métier de sténographe étaient rares, même au siège social, tandis qu’aucune n’était comptable. À la fin de la guerre, les femmes comptaient pour plus de 42 % de l’effectif de la Banque. Celle-ci avait engagé des centaines de femmes non seulement comme sténographes et secrétaires, mais aussi dans tous les postes administratifs relevant du directeur.

Ce mouvement s’est répété pendant la Deuxième Guerre mondiale. Entre 1939 et 1945, 1 269 hommes et 181 femmes, soit environ le quart du personnel de la Banque, se sont engagés dans les forces armées. À la fin de la guerre, 40 % de l’effectif de la Banque était féminin.

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À qui la fortune sourit volumes 1 et 2

L’histoire définitive de l’une des banques les plus anciennes d’Amérique du Nord, À qui la fortune sourit : La Banque de Montréal et l’essor financier de l’Amérique du Nord, volumes 1 et 2, par Laurence B. Mussio.

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Un destin plus grand que soi

Rendant hommage à la première banque au Canada, le livre riche en images Un destin plus grand que soi : L’histoire de la Banque de Montréal de 1817 à 2017, de Laurence B. Mussio, raconte l’histoire captivante de la Banque, de sa fondation jusqu’à aujourd’hui.

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